Politique : L'UNAFEC de G Kyungu décline un poste qui ne lui a jamais été proposé par Ensemble pour la république.

Par la Nouvelle Afrique

Une mise en place non authentique a été relayée dans les médias sociaux faisant état d'une composition des animateurs du parti politique de Moïse Katumbi tant attendue par le peuple congolais.

L'UNAFEC surpassée par le zèle de vouloir faire bonne mine à Félix Tshisekedi est tombée dans les pièges des arnaqueurs qui ont propagé une fausseté sur celui qui s'apprête à devenir un des mégas partis congolais.

Imperturbable dans son Kashobwe natal où il essaye de rendre agréable le vécu de ses paysans, le silence éloquent de Moise Katumbi dérange certains esprits mal intentionnés qui le considèrent comme adversaire hautement gênant à la présidentielle de 2023.

Le respectueux parti du patriarche Gabriel Kyungu a prêté attention à des folles rumeurs sans fondement pour réaffirmer ce que sait l'opinion.

En effet cette composition non authentique du bureau est une actualisation de l'ancienne équipe de la plate forme ensemble pour le changement qui a obtenu des sièges au parlement sous le label de regroupement politique né en Afrique du Sud.

Gabriel Kyungu, Jean Bertrand Ewanga, Delly Sesanga ,Claudel Lubaya,...tous ceux là qui se sont prononcés en faveur d'une ouverture à l'actuel régime ont fait partie d'ensemble pour le changement et leurs partis politiques respectifs ont été enrôlés aux listes électorales grâce à une bonne part de fonds de M Katumbi.

Le communiqué de l'UNAFEC dément appartenir à un parti dont la sortie se fait attendre. Une chose est sûre, Ensemble pour la république ne puisera son élite politique dans les rangs de ceux qui ont fait défection. Kyungu Wa Kumwanza a choisit sa destinée et Moise Katumbi le sait bien. Ce dernier garde toujours de la considération pour Gabriel  Kyungu .

Mais Moise Katumbi n'a jamais obligé qui que ce soit à soutenir son combat. L'UNAFEC doit donc garder son calme car aucune démarche dans ce sens n'a jamais eu lieu, nous signale-t-on.

La Nouvelle Afrique