RDC - FRACO : "Pourquoi ma décision républicaine de rejoindre le camp de l’Union Sacrée de la Nation prônée par Son Excellence Monsieur le Président de la République" (Tribune)
2898 Vues

POSITION DU PRÉSIDENT NATIONAL DE LA FRATERNITE CONGOLAISE, MONSIEUR BIENVENU AKILIMALI MUNGANGA, SUR SA DECISION REPUBLICAINE
A. CONTEXTE ET JUSTIFICATION
La République Démocratique du Congo a vécu en date du 24/01/2019, la passation du pouvoir entre l’ancien Président, Son Excellence Joseph KABILA KABANGE et le nouveau, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Des lueurs d'espoir s’étaient ainsi ravivées partout dans le pays. Fort malheureusement, l’opinion tant nationale qu’internationale s’est vite désillusionnée. Il s’en est suivi que tous, tant à l’interne qu’à l’externe observaient que celui qui venait officiellement de transférer le pouvoir, à savoir, l’ancien Président Joseph KABILA, ne voulait pas en réalité quitter le pouvoir. Par des manœuvres machiavéliques, il tenait coûte que coûte à contrôler tout l'appareil étatique ue, se targuant de sa majorité factice et de fait au Parlement. En effet, aucun parti ou regroupement politique n’a eu à l’issu des élections du 30/12/2018, une majorité absolue des députés qui composent la chambre basse du parlement. Cette majorité factice et de fait contrôlée par l’ancien Président de la République au Parlement, va s’ériger en une véritable barrière aux changements et aux reformes tant attendues tant sur le plan politique, économique, que social.
Aujourd’hui, il apparaît sans nul doute que le souci de cette majorité au Parlement n’est plus le salut du peuple mais plutôt, le sort de leur Autorité morale et par-delà, d’eux-mêmes, membres du Front Commun pour le Congo, FCC en sigle. Cette situation a gravement paralysé la nation, que de justesse son Excellence Monsieur le Président de la République, en Homme et guide averti et visionnaire, s’en est vite rendu compte. Il invitera en toute sagesse les couches sociales représentatives du pays dans son discours du 23/10/2020 pour des consultations afin de réfléchir sur les voies et moyens pour dégager le pays des graves écueils de crises multiformes qui le plombent et qui bloquent le pays. Paradoxalement, la famille politique auquel j’appartiens, à savoir le FCC, s’évertue à rejeter cette vision sage du Président de la République, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.
En tout patriote que je suis et demeure, je suis rentré en moi-même et mon constat a été que le discours du Président de la République est tombé à point nommé. La société Congolaise est en vérité dans un blocage total occasionné et voulu de façon expresse par notre famille politique le FCC ; blocage qui ne peut être décanté que par la mise en commun des intelligences du pays qui devront trouver des voies de sortie des crises créées de toute pièce par la seule la famille politique à la quelle j’appartiens, à savoir le FCC.
En toute responsabilité, j’ai voulu et réclamé à cor et à cri un débat sur la présence ou non de notre famille aux consultations politiques pour juguler la crise multiforme que traverse le pays. J’ai été vite appelé au silence car ici, lorsque le Président honoraire Joseph KABILA a décidé, tout le monde doit dire « AMEN ». La sentence de ce seul homme était déjà là et tout le monde devait s’y soumettre.
Mais, comment puis-je me soumettre à un ordre qui m’interdit de réfléchir pour le bien du pays ? Surtout que c’est la haute Autorité du pays, à savoir le Président de la République qui nous y invite ? Dans une logique de patriotisme et un esprit républicain, j’ai franchi ce Rubicon d’envoûtement dans lequel certains grands docteurs à thèse, certains grands professeurs d’université, bref, des gens éminents, restent encore maintenus, je ne sais pourquoi ! Une soumission aveugle à un seul homme, Joseph KABILA, Autorité morale Suprême, l’appellent-ils. Un système de pensée unique dangereux et qui ne supporte pas une deuxième pensée que j’apportais en contradictoire.
Fallait-il laisser le pays dans le blocage qui engendre des crises ?Tout cela pour l’intérêt d’un seul homme qu’on devait faire passer COMME le meilleur pour être le Président de la République idéal, afin de préparer son retour en 2023 sur pied de l’échec de son successeur, programmé par lui-même ?
B. Situations DE BLOCAGE
1. Crise institutionnelle
Si aujourd’hui l’on a l’impression qu’il y’ a une crise institutionnelle, notamment entre le Président de la République et le Gouvernement, ou entre le Chef de l’Etat et le Parlement, il n’y a en réalité, de crise que celle qui a été artificiellement créée par le FCC et son Autorité morale. Nous sommes dans une crise autour d’une personne qui veut protéger son pouvoir illégitime et illégal ainsi que ses prébendes contre toutes les institutions de la République légitimes et légales. Une seule personne veut paralyser les institutions du pays, en s’octroyant tous les pouvoirs de l’Etat qu’il a eus pendant 18 ans de règne. Pour lui et ses hommes, toute institution du pays doit lui obéir et exécuter servilement ses vœux.
Je m’en vais à titre illustratif, vous citer la situation sécuritaire de notre pays. D'aucun n’ignore qu’il s’est installée pendant le règne de 18 ans de Kabila, une insécurité indescriptible à l’Est de la République. En une décennie, on est passé de 40 groupes armés à plus de 250 groupes armés. Chaque jour, nos compatriotes meurent à Beni, à Butembo, à Rutshuru, à Bunia, à Djugu, Mulenge, … des femmes sont violées, des biens emportés. Les députés nationaux ont introduit plus de 168 interpellations du Ministre de la Défense pour aboutir à la motion de défiance de ce dernier, mais une seule personne bloque le processus et fait capoter toutes ces interpellations par sa seule parole, en donnant un mot d’ordre aux députés et la situation sécuritaire continue à se dégrader.
Pour lui, la CENI, la Cour Constitutionnelle, la Justice et l’Armée sont ses biens qui ne peuvent pas être touchés sans qu’il n’en sache les tenants et les aboutissants. Les députés et Sénateurs du FCC ont été rassemblés et enfermés dans une sorte d’enclos d’où ils ne peuvent sortir sans son autorisation. Heureusement que les érudits du mythe de caverne sont revenus au grand jour, au soleil, pour quitter cette obscurantisme d’envoûtement qui ne dit pas son nom à l’école du Raïs.
Pour sortir de cette crise institutionnelle artificielle, il faut ramener son auteur à la raison, sinon le neutraliser. La démarche entreprise par SEM le Président de la République est salutaire en ce qu’elle permet de mobiliser tous les citoyens épris de justice et de bon sens pour la mise en place d’une dynamique nouvelle deC hangement ; une union sacrée de la Nation contre l’oppresseur qu’il faut faire capituler afin de disposer de la voie libre vers le progrès.
2. Violations répétées de la constitution
Il est difficile sinon impossible de dissocier le régime Kabila de la violation répétée de la constitution à des fins personnelles de conservation ou de renforcement de son pouvoir. De ce fait, l’Ancien Président est à la base de plusieurs violations de la constitution; la plus grave ayant été matérialisée par la prolongation illégale et cavalière de son mandat en 2016, sans oublier la prolongation du calendrier de la CENI, le non-respect de la date de l’installation des provinces démembrées pour ne citer que cela. Dans le même ordre d’idée, mentionnons son habitude à plusieurs reprises à valider une justice constitutionnelle siégeant à 5 juges alors que la Loi en exige 7 au moins.
Le professeur Eugène BANYAKU dans son ouvrage « Eclairage sur les cinq débats politiques d’actualité » en dit plus. Comme je viens de le dire la plus grande violation de la Constitution est celle, pour l’ancien Président, de s’être maintenu au pouvoir après 2016. Cette violation s’est consommée pendant 814 jours durant lesquels il est resté Président de la République après ses deux mandats constitutionnels. Bien plus, tout le monde sait que notre constitution a fait l’objet de diverses retouches, taillées au gré des besoins et des intérêts personnels du Président Kabila. On ne peut, ne pas rappeler ici le tripatouillage que la constitution a connu, avec la suppression du deuxième tour des élections présidentielles. En tout cas, au FCC, nous sommes mal placés pour donner des leçons sur la violation de la constitution.
3. Crise de gouvernance
Depuis plusieurs années, la RDC est victime de plusieurs situations de blocage dans la gouvernance du pays. Le régime passé a pendant 18 ans mis en place un système criminel de prédation généralisée, caractérisé par la megestion des services de l’Etat, le détournement de deniers publics, les vols à grande échelle, l’enrichissement sans cause, bref toutes sortes d’antivaleurs qui ont mis le pays par terre.
Sur le plan de la gestion des ressources publiques, le mal est si profond tel qu’ils’est créé un groupe des criminels économiques, des KULUNA en cravate qui ont chaque fois usé de leurs positions dans différentes sphères politiques pour prendre le pays en otage et qui ont compris qu’ils ne pouvaient mieux opérer, dans leurs sales besognes, qu’en protégeant le premier d’entre eux.
Je voudrais ici me limiter à quelques exemples concrets de cette criminalisation de l’économie nationale au profit d’un système, d’un individu ainsi que de sa famille.
3.1.Du contrat chinois
Un seul individu se substitue à l’Etat dans ce contrat qui se gère dans l’opacité la plus totale. Pour rappel, c’est un contrat signé entre 2008 et 2009, qui devrait permettre de mobiliser 6 milliards et demi de dollars dont 3,5 milliards pour un projet minier appelé SICOMINES et 3 milliards pour les infrastructures de la république. Ce contrat est une mafia dans la mesure où tout l’argent destiné aux infrastructures publiques n’a jamais été comptabilisé nulle part dans le budget de l’Etat. Cela fait 10 ans que l’on a décaissé d’année en année plusieurs millions de dollars qui environnent aujourd’hui 1 milliard de dollars dont aucun comptable public, aucun ministre du régime passé ne peut assumer la traçabilité. Les infrastructures supposées construites ; mais dans quelle gabegie ? En effet, comment comprendre qu’un kilomètre du boulevard LUMUMBA aurait coûté plus de 15 millions de dollars ?
Tous ces projets ont été réalisés sous la conduite d’un bureau qui échappait totalement au contrôle du Gouvernement et qui n’avait d’instruction à recevoir qu'une seule personne à savoir, le Raïs Joseph Kabila KABANGE. Pire, cela fait plus de 10 ans que l’ancien régime a été incapable de consommer les 3 milliards d’infrastructures (Il n’y a qu’un milliard consommé). Pendant ce temps, les Chinois ont déjà bouclé tous les investissements miniers et la SICOMINES fonctionne en plein régime, avec une production dont seul le Raïs et ses amis Chinois savent ce qu’elle rapporte à l’Etat congolais.
En fait, il n’y a pas pire arnaque que cette affaire de contrat chinois : un contrat léonin dont les facilitateurs (les entreprises chinoises) ont droit à 68% du capital dans une mine que l’Etat Congolais met à leur disposition. Aujourd’hui, les Chinois bénéficient de tout leur 68% alors que l’Etat Congolais n’a jusqu’ici bénéficié théoriquement que de 1 milliard sur les 3 milliards des infrastructures.
C’est ici où j’invite Son Excellence Monsieur le Président de la République à ouvrir l’œil, et le bon, pour vérifier si ce milliard a vraiment servi pour les infrastructures et dans quel état se trouvent ces infrastructures aujourd’hui. Ont-elles été construites selon les normes ? Pourquoi plus de 10 ans après, on a été incapable de consommer les 3 milliards des infrastructures ? Que produisent les 2 milliards laissé à dessein en Chine ? Produisent-ils des intérêts à la République ?Où ces milliards sont-ils finalement logés ?
Il faut signaler que le fameux contrat chinois donne droit aux seuls chinois de réaliser tous les marchés des infrastructures de ce projet. Une situation inacceptable pour un pays censé promouvoir l’emploi et créer une classe moyenne tant voulue.
3.2.Privatisation de l'économie
En 18 ans, l’économie du pays a été quasiment privatisée au profit de quelques familles pour ne pas dire d’une seule famille à laquelle se sont joints quelques courtisans. Ce qui constituait hier l’épine dorsale de la force économique du pays a été démantelé au profit des entités privées. Ce qui est drôle est de constater que les entreprises privées constituées sur les cendres du patrimoine de l’Etat démantelé fleurissent pendant que les entreprises publiques des secteurs concernés sont laissées à l’abandon. Le paradoxe est de voir qu’on sait bien gérer son propre bien pendant qu’on ne sait aucunement organiser la gestion de l’Etat qu’on dirigé. À titre d’exemple, la GECAMINES est aujourd’hui complètement démembrée au profit de plusieurs sociétés privées appartenant à deux ou trois familles par l’intermédiaire des étrangers Chinois, indiens, israéliens, Libanais….
Le cas le plus flagrant est celui d’un certain Dan Getler, un individu honni par son propre pays d’origine et sous sanction des USA mais à qui notre pays a déroulé le tapis rouge parce que, dit-il lui-même, ami personnel et partenaire de JKK. Sur le 100% du patrimoine miniers qui revenait à la GECAMINES, celle-ci ne reste qu’avec moins de 15%. Il en est de même de la MIBA, de la SOKIMO et D’autres entreprises publiques du secteur minier.
La SNCC qui était le plus grand transporteur ferroviaire à l’Est du pays est aujourd’hui en faillite parce que ceux qui avaient en charge la gestion du pays ont préféré créer des sociétés de transport routier qui ont raflé tous les marchés de transport des produits miniers qui donnaient l’essentiel du marché de transport à la SNCC. Au Bas-Congo, on a aménagé des ports privés qui ont récupéré tous les marchés de l’Ex ONATRA aujourd’hui en faillite. Plus grave, ces ports privés constituent le lieu de mafia financière qui prive l’Etat de tous ses moyens d’actions. Aucun préposé de l’Etat n’y accède pour soit prélever la taxe, contrôler la qualité des marchandises ou pour d’autres formalités.
Le secteur aérien est un autre exemple de la privatisation de l’économie nationale au profit de quelques individus. Une compagnie privée appartenant à un étranger bénéficiant de parapluie d’une famille bien connue jouit aujourd’hui d’une situation de quasi-monopole de fret alors que le pays dispose d’une compagnie nationale qui ne pouvait manquer des possibilités d’opérer sur ce marché. En 18 ans, l’économie de pays a été réellement privatisée au profit d’une seule personne. Et cette même personne tient encore à poursuivre son œuvre dep rivatisation de l’économie nationale au détriment du peuple congolais. Pour y parvenir, cette personne tient à anéantir toutes les initiatives salvatrices de Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI ; le bloquant ainsi triplement :
(1) lui priver des moyens de son action ; (2) le présenter aux yeux de l’opinion, comme le seul responsable de la situation catastrophique que le pays traverse ; et (3) hypothéquer son avenir politique.
3.3. La complaisance dans la collecte des recettes de l'Etat
Ce régime a laissé en 18 ans s’installer une fraude fiscale qui saigne à blanc le pays. S’emblée, il faudrait donner un détail important : dans la crise de gouvernance financière du pays, notre budget est modique car même si l’assiette est large, nombreux de ceux qui doivent l’impôt répondent à une personne qui leur accordé des exonérations intempestives. En conséquence, les recettes fiscales sont au rabais.
Ici les exemples de complaisance dans la collecte des recettes de l’Etat sont légion dans un pays dont le taux de pression fiscale globale est paradoxalement parmi les plus faibles d’Afrique en dépit de la multiplicité d’impôts et taxes et des tracasseries administratives à l’endroit des opérateurs économiques.
A la DGI, on se complait d’année en année dans des performances de façade, alors que la fraude est systémique particulièrement en matière d’impôt sur les revenus professionnels et sur les rémunérations, sans oublier le domaine de la TVA qui est devenu un cauchemar pour l’Etat congolais appelé malgré lui, à rembourser d'énormes crédits d’impôt dont l’origine est douteuse, particulièrement dans le secteur minier.
L’un des cas graves de fraude fiscale caractérisé est celui qui s’opère en matière d’Impôt Professionnel sur le Rémunérations des Expatriés, IPRE en sigle et d'impôt Exceptionnel sur les Rémunération des Expatriés IER en sigle il y a des centaines des milliers d’expatriés qui travaillent en République Démocratique du Congo, qui ont bénéficié des cartes de travail et qui, paradoxalement ne sont pas déclarées à la DGI, occasionnant des pertes énormes au trésor public car leurs IPRE et leur IER ne sont pas perçus par l’Etat. Ceci représente plusieurs centaines de millions de dollars par an. Nous avons fait un petit exercice d’estimation sur un échantillon de 25 sociétés et avons dégagé plus de 900 millions USD de manque à gagner par an.
C’est un dossier grave pour lequel nous comptons nous constituer en aviseur auprès de l’Administration Fiscale congolaise, de la CNSS ainsi que l’INPP qui sont aussi grands perdants dans ce dossier.
3.4.Du péage route
Voila ici une autre preuve tangible de la privatisation de l’économie au profit d’un individu. Il existe deux principaux péages qui illustrent ce que nous voulons dire ; deux péages routes qui ont été cédés à un Chinois à travers un contrat léonin de plusieurs années pour un investissement somme toute modique dans quelques portiques de contrôle des véhicules.
Il s’agit du péage Kinshasa – Matadi, qui produit 200 à 300 milles dollars par jour et du péage Kasumbalesa – Kolwezi qui produit quasiment le double de Matadi. Ces deux axes routiers vitaux qui permettent au pays d’exporter et d’importer, ont été arrachés au FONER au profit d’un particulier Chinois, qui n’est que l’arbre quic ache la forêt. D’après les informations en notre possession, ce contrat aurait déjà expiré mais les intéressés continuent d’exploiter sans contrôle, avec la complicité de quelques Conseillers politiques et quelques hauts fonctionnaires véreux. Plus au moins 200 millions de dollars de recettes annuelles que ce Chinois gagne sans la moindre trace de ce qui est destiné à l’entretien des axes routiers concernés. La question est de savoir, qui est derrière lui.
3.5. Le Secteur des substances minérales précieuses
Le Congo est devenu un passoir où les gens font la mafia à ciel ouvert. Alors qu’il y a une structure appelée Centre Nationale d’Expertise et d’Evaluation des Substances précieuses, CEEC en sigle, qui devrait encadrer l’exploitation de l’or et de Diamant, l'on constate que nos matières précieuses sont livrées à la contrebande au profit de certaines personnes et que ce secteur ne rapporte quasiment rien à L’Etat. Pendant ce temps, le CEEC est devenu la vache à lait de quelques politiciens érigées en protecteurs d’un individu qui a été porté à la tête de cette structure dans des conditions rocambolesques et qui gère cet établissement comme une boîte privée, dans la terreur et dans une mafia indescriptible, où lui-même est juge est partie, fixant la valeur des substances à exporter à qui mieux et orientant les meilleures pierres de diamant dans son propre comptoir géré par sa femme. Un véritable scandale !
C. CONCLUSION
En définitive, pour que le Président de la République Antoine Félix Tshisekedi Tshilombo réussisse son mandat et matérialise sa vision, celle du Peuple d’abord et de la reconstruction de la République, il faudra un nettoyage systématique de toutes les contraintes citées ci haut afin qu’Il retrouve tout son pouvoir régalien reconnu par la constitution et qu’il exécute son programme socio-économique poure le bien de tous.
Se/ Bienvenu AKILIMALI MUNGANGA
Président National de la Fraternité Congolaise