OGEFREM : Un acharnement qui dit long sur l'innocence de la personne incriminée. (Tribune).
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C'est chaque jour qui passe que nous apprenons un peu plus sur les intentions nuisibles des détracteurs du DG de l'OGEFREM, Monsieur SAYIBA
Certains, par manque d'arguments, préfèrent même outrepasser la liberté d'expression au point de recourir aux journaux satiriques qui n'hésitent pas à verser dans les injures faciles plutôt qu'à la présentation intelligible des faits. L'injure est l'arme du faible et le silence est d'or, dit-on. D'autres encore, comme des petits diables dans un bénitier, multiplient des allégations mensongères auprès des autorités en vue d'obtenir, tant soit peu, leur accompagnement.
D'après nos investigations, il s'avère que Monsieur SAYIBA est tout simplement victime de sa réussite managériale, de sa rigueur et de son savoir-faire qui met à nu l'ancienneté sans empreinte patriotique de certains de ses détracteurs qui ont catastrophiquement assumé des hautes responsabilités dans ce pays?
Un complot est un complot et toutes les raisons sont bonnes pour le faire aboutir, mais cette fois, les raisons semblent manquer à ses détracteurs qui l'ont accusé de tous les maux sans en apporter une seule preuve.
Tantôt, il aurait détourné plusieurs millions et aurait logé son butin dans un compte à l'étranger, tantôt il est orgueilleux et n'obéit qu'à ses impulsions,...
In fine, après chaque vérification, les comptes sont bons pour chaque fait lui reproché en commençant par le crédit de 3 millions contracté à Afriland pour chuter par le dossier port sec de Kasumbalesa en passant par les interpellations en justice.
Les résultats de nos investigations sont concordants et formels sur le fait que la dextérité de ce technocrate sans pareil a infligé un échec cuisant à tous ses détracteurs qui n'en veulent qu'à son poste.
Les témoignages recueillis auprès des travailleurs de l'OGEFREM requinqués par la gestion altruiste du DG SAYIBA en disent davantage.
Nous sommes en juillet 2017, lorsque Sieur SAYIBA et son Adjoint sont nommés à la tête d'une entreprise qui n'existe alors que de nom. A cette époque connue sous la triste appellation de "la morosité" clamée le DG d'alors, les agents connaissent déjà 5 mois d'arriérés de salaire et sont sans couverture médicale, le contrat "FERI" avec l'opérateur italien FRABEMAR sur la gestion du fret à l'importation ne verse que des miettes, le projet port sec de Kasumbalesa sombre dans l'illusion malgré tous les tapages, les endettements même des agents auprès des tiers sont à leur apogée, la stigmatisation du clivage Est-Ouest s'installe suite à une crise entretenue intentionnellement par le DG qui voit en cela un moyen de se faire un petit cercle de protection,...
Par ses avis à tiers, la DGI dénonce l'incivisme fiscal de l'OGEFREM et réclame son dû de plus 27 milliards de cdf, l'entreprise est sous index de la Banque Centrale du Congo, l'INPP et plusieurs autres créanciers réclament désespérément leurs dus.
...Bref, le tableau est en ce moment là très sombre et des profondes grognes sociales se font entendre de partout. Les syndicalistes appuyés par l'ensemble du personnel dénoncent chaque jour la dégringolade et la descente aux enfers de ce patrimoine de l'Etat confié à un Amateur qui se voit contraint, malgré tout, de signer en date du 23 juin 2017 un Protocole tripartite qui dévoile toute l'incompétence et dérives managériales. La tension est à son comble car Sieurs KIKWA et INDIA, respectivement DG et DGA, dont les relations ne sont que hypocrisie et coups bas, n'en peuvent plus car aucune issue de secours n'est envisageable malgré le Protocole précité. Mais, en dépit de toutes les dénonciations documentées de détournement et tensions sociales subséquentes, la justice semblait être en congé et totalement désarmée.
Ce silence ne décourage pas les travailleurs de l'OGEFREM et chaque jour qui passe, le ton monte de plus bel. Pendant ce temps, les syndicalistes ne veulent d'aucun colmatage et annonce une grève farouche pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être.
Seule une petite frange, difficilement identifiable, d'une dizaine d'agents proches du Directeur Général de l'époque se réserve d'adhérer à cette dynamique pour des raisons connues d'eux-mêmes. Parmi ces raisons, on soupçonne aisement leur complicité à la megestion décriée par tous.
Le combat de la quasitotalité du personnel aura été noble car le 13 juillet 2017, contre toute attente, le Chef de l'État décide de mettre fin à la comédie managériale du duo KIKWA-INDIA en nommant des nouveaux mandataires pour remettre de l'ordre dans la baraque.
Le PV de remise-reprise signé une semaine plus tard sera plus que révélateur de la gestion apocalyptique des mandataires sortants.
En effet, L'entreprise était dans un profond coma prolongé car, la note du Directeur financier de l'époque signée le 18 juin 2017 faisait déjà état de plus de 40 millions Usd de dettes pour une entreprise dont le chiffre d'affaires qui, à peine, avoisinait 30 millions usd.
A en croire le PV de remise-reprise, l'on y signale un compte bancaire passif de l'ordre de moins un million six cent mille Usd.
C'est là que Sieurs SAYIBA et MANZILA se rendront compte qu'ils ont du pain sur la planche et se décident de se souder les coudes en mettant en place le système managériale de la gestion participative et orthodoxe axée sur les résultats. Avec ce système, l'espoir renaît petit à petit car il reflète une détermination et une volonté irréversible de rompre définitivement avec un systeme qui vantait la morosité aussi bien mentale, technique, administrative que financière en lieu et place des vertus managériales.
Très vite, ce nouveau maître-mot fait ses preuves jusqu'à laisser croire que l'OGEFREM était un bunker qui n'attendait que les nouvelles nominations pour dévoiler ses merveilles à la grande satisfaction de tous sauf celle des haineux, apprentis sorciers et aigris.
Pour s'en rendre compte, il suffit d'entendre les propos élogieux du professeur Emile NGOY, un des anciens mandataires de l'OGEFREM à l'occasion de la célébration de 100 jours de l'équipe SAYIBA et MANZILA.
Il faut être un ennemi de la Republique pour ne pas reconnaître les innovations de cette nouvelle équipe qui n'a ménagé aucun effort pour très vite éponger les arriérés de salaire, effacer progressivement l'ardoise de plus de 35 millions, relancer les conventions médicales, payer toutes cotisations sociales dont les impôts, doter l'Office d'un cadre réglementaire opérationnel (Protocole OGEFREM-DGDA et textes rendant exigibles les outils de traçabilité du fret à l'import-export, ...), payer les décomptes finaux, solder tous les suspens, doter l'Office d'un cadre organique adapté, sécuriser le patrimoine immobilier, améliorer le social, améliorer le budget annuel qui désormais passe du simple au plus du double, équilibrer les charges et assainir toutes les tares de l'équipe sortant tout en mettant un accent particulier sur l'objet social de l'OGEFREM à savoir, l'assistance et la facilitation aux Chargeurs en lançant notamment le méga projet intégrateur "port sec de Kasumbalesa" qui fait, à ce jour, couler beaucoup d'encre et salive.
Et pourquoi donc cette polémique autour d'un projet qui a le mérite de faire la fierté non seulement de l'OGEFREM mais aussi de la RDC toute entière? La réponse est toute simple. La réévaluation du projet à 300 millions et la transparence managériale dans ce projet laissent un goût amer aux partisans de la gestion opaque qui sautent sur chaque projet de la République pour tirer d'énormes commissions ou bénéfices personnels et ce, sans soucier de la survie du projet ni de la bonne image de la République.
Il va de soi qu'à défaut pour eux d'obtenir la complicité du DG SAYIBA pour atteindre leurs fins, tous les moyens sont bons pour ces détracteurs d'évincer leur cible.
A ce projet hautement stratégique s'ajoute, le dossier FRABEMAR qui a plus profité aux gourous de la République qu'à la République elle-même et ce, à travers une manipulation dangereuse d'un système d'exploitation géré à l'étranger (Italie) et par un étranger alors que le fret, un des éléments de la souveraineté nationale, est congolais. Comme si tout le monde voulait rester aveugle, c'est encore certains congolais qui s'érigent contre le DG de l'OGEFREM qui a déniché dans ce système non seulement des magouilles et insuffisances flagrantes mais un manque de patriotisme et une expression cachée du dénigrement de l'intelligence nationale.
Le DG de l'OGEFREM serait-il alors victime de ce rayonnement à mi-chemin et de toutes ces dangereuses révélations qui ont bouché les intérêts occultes des certains congolais en quête permanente des commissions même là où ils n'ont pas semé?
En effet, les diverses tractations couplées des interpellations judiciaires négociées contre ce gestionnaire hors norme nous laissent perplexes au point de nous interroger si seuls les médiocres ont droit de cité dans ce pays? Nous pesons bien nos propos et indexons ces loups ravisseurs, ces médiocres et ennemis de la République qu'il sied de démasquer et d'arrêter. *Nous les citerons prochainement*, car leurs agissements sont contre la République pendant que d'autres mouillent leur maillot pour redorer limage du pays dans leur secteur respectif à l'instar de l'OGEFREM, la CNSS, l'INPP, le FPI,... à qui nous souhaitons plein succès.
Parlant de la justice, nous voulons d'une justice juste ou équitable et dénonçons celle qui affaiblit et condamne l'opprimé par des procédures à la fois irrégulières et spectaculaires.
Nous nous insurgeons contre la justice à double vitesse qui viole les principes fondamentaux pour servir certains intérêts égoïstes. Nous voulons d'une justice noble et réparatrice.
En effet, dans le dossier OGEFREM, la lecture de l'article 153 de la Constitution nous aura appris que non seulement le Parquet près la Cour de Cassation n'est pas juridiquement compétent pour interpeller un DG dont Sieur SAYIBA, mais dans les faits tout porte à croire que les faits lui reprochés sont inexistants au regard des preuves déjà fournies et que ses détracteurs ne savent contredire. Pire encore, le Parquet s'enteterait pour revenir sur des questions qui ont fait l'objet des enquêtes de deux grandes institutions étatiques dont l'expertise est d'une notoriété presqu'universelle. Nous citons l'Inspection Générale des Finances et la Cour des Comptes dont les conclusions n'ont révélé aucune anomalie. Que cachent ces mandats de comparution et d'amener du Parquet près la Cour de Cassation qui ressemblent à une suite réservée aux déclarations intéressées des tireurs de ficelle comme l'honorable LUBAYA, Me MUYAMBO, Me KAPIAMBA, qui n'avaient jamais dit un mot lorsque l'OGEFREM se mourrait, il y a de cela trois ans?
Nous sollicitons l'implication personnelle du Garant du bon fonctionnement des Institutions et Juge suprême de la République, le Chef de l'Etat, pour que la justice ne soit pas utilisée comme une arme aux services des politiciens véreux.
A ce jour, les travailleurs de l'OGEFREM et tous les Partenaires de cette entreprise sont fiers des résultats de la politique managériale mise en place par le DG SAYIBA et l'en félicitent au quotidien.
Me Jean Michel Mpangi Mutombo